Michael Jordan a un TDAH, et voici ce qu’il en dit…
par Cyrielle d'Horizons famille · Publié · Mis à jour
Saviez-vous que Michael Jordan, l’un des plus grands sportifs au monde, a un TDA/H ?
Saviez-vous que Michael Phelps, le sportif le plus titré de toute l’histoire des Jeux Olympiques, a un TDA/H ? (On parle de 28 médailles !).
Voici comment ces champions parlent de leur TDA/H.

–
Michael Jordan obsédé !
Michael Jordan était obsédé par le basket-ball et par la victoire. Son succès n’est pas dû à la chance, et son talent n’est pas un don du ciel (ce sont ses mots).
Son succès et son talent sont le fruit d’un travail quotidien et acharné. S’il s’est entraîné si dur, c’est parce qu’il était passionné par son sport.
Son caractère peut en partie expliquer cette passion… mais son TDA/H aussi !
Quand une personne avec TDA/H met le doigt sur quelque chose qu’elle aime faire, ça devient une passion, voire une obsession.
Michael Jordan mangeait, dormait, respirait basket-ball. Il s’entraînait sans relâche. C’est pour cette raison qu’il est devenu le plus grand joueur de l’histoire, jamais égalé.

–
Michael Phelps humilié !
Lorsque qu’il était enfant, Michael Phelps ne restait pas en place, selon ses mots.
Il a été humilié et découragé par des professeurs qui lui disaient qu’il n’arriverait à rien dans la vie.
Mais ça l’a rendu résilient !
Il se dit même reconnaissant que ces enseignants lui aient parlé ainsi, car ça lui a donné un objectif, un challenge. Même un supplément d’âme.
La première fois qu’il a plongé dans l’eau, il a détesté. Puis c’est en apprenant des techniques de nage et en persistant dans ce sport qu’il a commencé à se prendre au jeu et à l’aimer.
La natation lui permet de canaliser son hyperactivité !
Il dit que nager apaise son esprit.
Il était incapable de se concentrer à l’école, mais une fois dans l’eau, il arrivait à se concentrer pendant des heures pour améliorer sa technique.

–
Les enfants hyperactifs ont sans cesse besoin d’être en mouvement, mais ce sont le plus souvent des activités physiques désordonnées, voire envahissantes, qu’ils peinent à maîtriser.
Plutôt que de chercher à limiter leur hyperactivité, aidons-les à exprimer ce besoin dans un sport dans lequel il peut s’épanouir.
On vient alors donner un but, un sens à cette hyperactivité. Leur hyperactivité devient alors une immense qualité.
Il est possible d’inverser la machine ! Au lieu de pointer du doigt l’agitation de notre enfant, on l’aide à transformer cette particularité en une force !
C’est là que la magie opère et que notre enfant peut s’épanouir.
L’hyperactivité n’est pas un trouble en soi. C’est la société dans laquelle nous vivons qui en fait un trouble, un problème.
Ne laissons pas nos enfants subir ces diktats. Changeons notre angle de vue et devenons leurs alliés.
Rester l’allié de son enfant avec TDA/H n’est pas évident, car ses comportements “débordants » peuvent nous déstabiliser et nous laisser démunis. Alors, pour vous aider à accompagner positivement votre enfant, je suis en train de préparer un programme qui vous sera entièrement dédié. Je vous en reparle bientôt.
–
En attendant, si vous ne voulez rater aucune de mes stories sur le TDA/H, pensez à me suivre sur :
Instagram
–
Je vous embrasse,
Cyrielle
Horizons famille